Du visage de la Madone se dégage une très grande beauté qu'on ne peut décrire. Elle-même a dit qu'Elle est si belle parce qu'Elle aime. Ainsi nous devons nous aussi être beaux, avant tout de l'intérieur, pour qu'ensuite cette beauté transparaisse aussi sur nos visages… Malheureusement, en ce qui nous concerne nous cachons notre visage sous des masques, nous cachons tout à l'intérieur… Nous devons commencer à aimer pour être beaux ; commencer en aimant, d'abord de tout notre cœur ceux qui composent notre famille, nos proches, puis enfin tous les autres… Il n'y a aucun problème pour la beauté: la vraie beauté est la bonté, celle spirituelle… "
Etre victime est, sans aucun doute, dans la mystique chrétienne, l’état le plus élevé auquel une âme puisse aspirer. En un certain sens, on pourrait l’appeler l’abrégé et le couronnement de toutes les vocations. Mais ici le sens de victime doit être bien compris: il s’agit d’une âme qui s’offre volontairement et, même si elle doit souffrir, ce n’est pas à la douleur qu’elle s’offre, mais à l’Homme des douleurs, par amour, pour partager avec Lui Sa passion d’amour. Elle est, oui vraiment une âme qui se sacrifie, mais dans le sens que donnait l’Ancienne Alliance, d’offrir un sacrifice, c’est-à-dire d’offrir à Dieu un don sacré.
Dans le message du 25 juillet 2005 , la Vierge à Medjugorje a dit: «Chers enfants, je vous invite à remplir votre journée avec de courtes et ardentes prières». Il y a d’innom brables prières courtes et ardentes, et probablement chacun de nous a la sienne qu’il préfère et qu’il veut dire plus souvent.
Découvrir leur origine serait un travail ardu, mais je crois qu’on peut dire que toutes sont inspirées de l’Amour, par amour, amour pour les âmes et pour chacun de nous. Il s’agit des oraisons jaculatoires. Il y en a une très belle, inspirée à la Servante de Dieu, Sr Maria Consolata Betrone.
Du point de vue de mon passé à Medjugorje, en ce moment il n’y a pas beau-coup de choses qui me reviennent à l’esprit. Depuis 1985, je me suis peu à peu retiré de Medjugorje pour vivre dans la contemplation. Au fur et à mesure que j’entrais dans un rapport plus profond avec Dieu, s’ouvrait la mémoire de mon âme, cet espace où l’Esprit-Saint assumait de plus en plus le rôle d’acteur principal et révélait le Mystère. Dans ce souvenir ce ne sont pas tant les phénomènes de Medjugorje en tant que tels qui sont présents, mais plutôt la vérité divine de Dieu vivant et vrai, de la Mère de Dieu qui est présente en nous et qui opère en nous. C’est là la vérité accueillie par l’Eglise.
Au-delà de toute pensée et imagination. Au-delà de nos capacités et de nos mérites. Au-delà des projets et des rejets. C’est ainsi que Marie se rend présente à Medjugorje. Et elle le fait en dehors de notre logique. Audelà de toute volonté de la garder ou de l’ignorer. Au-delà de toute loi humaine et de toute raison. Depuis presque 25 ans la Vierge visite de cette façon ses fils, encore insérés dans le temps et dans l’espace pour les aider à en franchir les confins. Dès main-tenant. Ici sur cette terre.
C’est avec Elle qu’il termine son encyclique, avec Marie, « Mère du Seigneur et miroir de toute sainteté ». C’est à elle qu’il dédie les derniers paragraphes de sa lettre sur l’amour, à Marie qui a tissé d’amour chaque instant de sa vie et qui de l’Amour est devenue la mère. Mais laissons s’inscrire directement les paroles dont se sert le Saint Père: elles sont pleines de grâce et de tendre amour pour la petite femme de Nazareth.
On définit programmatique la première lettre encyclique d’un pape, sorte de déclaration sur le style que le successeur de Pierre désire donner à l’Eglise pendant les années où elle lui est confiée. Et comment ne pas voir déjà dans le titre du document du pape Benoît la volonté de repartir des fondements du christianisme: Dieu est amour (lJn 4,16) en faveur d’une humanité toujours plus divisée dans l’océan des options diverses proposées par la société, et qui a besoin de rails sûrs pour arriver à Dieu.
Nous attendons notre troisième fils, mais la grossesse ne se déroule pas selon nos prévisions et on m’a demandé le repos absolu. Cependant c’est une période où tout en expérimentant toutes les limites du corps, je vois que, dans ma condition d’immobilité l’esprit peut s’élargir de plus en plus. Et alors je vis ce moment également avec grâce, parce que l’amour a deux côtés: le premier c’est la joie et l’élan à donner, dans une donation qui cependant comprend aussi la croix. Mais quand la croix est vécue, la joie devient encore plus profonde. De cette façon tout se remet en place. Il semble que la vie doit couler douce pour être vraie, c’est ainsi que nous l’imaginons. Je comprends au contraire de plus en plus que la souffrance est la vraie vie. Je peux dire alors qu’en ce moment, je vis cette ‘vraie vie’.
Pour le 23ème Anniversaire des apparitions, de grandes foules sont venues à Medjugorje. Quelle heureuse surprise ce fut pour tous d'entendre le beau message donné par la Gospa à cette occasion (voir message du 25 juin ). La joie du Ciel était au rendez-vous et se lisait sur les visages !
P. Andrea Gasparino de Cuneo est un maître de prière bien connu. Dans ses nombreuses instructions il se déclare toujours ennemi de la prière 'verbeuse'. Le Rosaire - avec sa répétition de formules - pourrait facilement devenir une récitation vide. Voici comment ce prêtre répond avec une extrême clarté à quelques questions posées par des auditeurs de Radio Maria (16.06.99).
La Reine de la Paix conclut son message en nous remerciant “d’avoir répondu à son appel”. En effet, Elle est en train de nous appeler avec une passion maternelle affligée, tous les jours depuis vingt-cinq ans: “Chers enfants, je ne me lasse pas, et je vous appelle, même si vous êtes loin de mon cœur… » ( Mess. 14.11.1985 ).
Le soir du 24 juin 1981 à Bijakovici, hameau de la paroisse de Medjugorje, le ciel s’est ouvert. Rien de nouveau et tout nouveau... Dans les âmes des chrétiens tout était déjà connu, et cependant voilà que se manifeste une nouveauté et tout prend vie. Foi, espérance et charité se réveillent et activent la vie divine dans les personnes.
Cette nouveauté pour les uns devient vie, pour d’autres obstacle. Pour mieux dire, la Vierge vivante parmi les hommes, pour quelques-uns devient joie, alors que quelques autres voudraient la supprimer. Le jubilé dans le peuple de Dieu devient inspiration et promotion de foi, alors qu’en ceux qui ne croient pas s’insinue la peur du peuple « libre en Dieu ». Le Seigneur se montre vivant à son peuple et, comme toujours, il devient signe de contradiction.
Photos from winter times.
Photos taken during the Easter.
Celebration of Anniversary at the Exterior Altar before St. James Church Photos.
Un air de fête. Partout des visages joyeux, miroir de gratitude pour le fait d’être ici dans ce moment, important et très attendu: le 25° Anniversaire des apparitions de la Bienheureuse Vierge Marie à Medjugorje.
Un sentiment commun se fait jour dans les yeux de tous: celui qui se sent personnellement invité, peut-être aussi un peu privilégié par rapport aux autres. Sûrement aimé. Il semble que la Gospa ait “combiné les choses” dans la vie de chacun pour qu’il soit ici, présent aujourd’hui. Ce n’est certes pas un mystère de prédilection, mais d’élection oui: un appel spécifique qui nous invite à devenir apôtres, médiateurs d’une grâce trop grande pour être retenue. Un appel gratuit de la part de Dieu qui ne doit pas nous faire entendre meilleurs que les autres, mais seulement administrateurs responsables d’un bénéfice destiné à tous.
Formée durant des années directement par la Vierge a travers ses messages, Jelena reste un puits de lumiere pour ceux qui veulent comprendre l'esprit maternel de Marie. Voici quelques paroles glanées ces jours-ci :
"Avant d'etre mariée, ma vie était plus facile. J'étudiais, j'étais libre, en fait je travaillais a ma formation personnelle. Maintenant, ma vie d'épouse et de mere me force a mettre en pratique ce que j'ai appris, c'est a dire a me donner, sans cesse et sans compter ! Mes enfants, ce sont mes supérieurs !"
"Observer mes enfants m'enseigne sur Dieu. Dieu est relation, et nous sommes créés a son image. Je le vois dans mes enfants ! Quand un enfant fait du bruit, crie, pleure, tappe, c'est parce qu'il veut entrer en relation avec nous. L'enfant, comme Dieu, est toujours demandeur de relation. Pour l'enfant, c'est vital car c'est ainsi qu'il se construit. La richesse de la vie nous est communiquée par la relation. Tous, nous vivons de relations avec les autres. Lorsqu'un enfant expérimente cette relation, il n'a pas besoin de télévision. Il est dans la paix, satisfait; je l'ai remarqué avec mes enfants. Ils ne veulent pas regarder la télévision, et cela meme lorsqu'ils vont chez leurs amis !
"Lorsque la Télévision remplace la communication, c'est l'interruption de cette relation qui précisément nous unit aux membres de notre famille et a nos amis. Bien souvent, nous érigeons des murs de protection contre la vie et nous nous enfermons dans l'irréel. Lorsque je suis avec quelqu'un et que je branche la télé, c'est comme si je lui disais qu'il n'est pas assez intéressant pour moi et qu'il ne mérite pas mon attention.
"Nous avons la meme attitude envers Dieu lorsque nous ne le mettons pas a la premiere place et que nous ne prions pas. Nous nous éloignons de la source et nous devenons frustrés. La grace nous est donnée a travers notre relation avec Dieu, dans la priere."
"Frères, exercez l'amour" (S. Augustin)
C'est avec l'invocation des saints, par le chant des litanies qu'a commencé la célébration du mariage de Jelena Vasilj et Massimiliano Valente, le 24 août dans l'église de la Reine de la Paix, à Medjugorje. Plus de 500 invités, la plupart venus de l'étranger; remplissaient, unis aux paroissiens, l'église de Saint Jacques. "Que le Seigneur vous protège depuis son sanctuaire, qu'il vous soutienne depuis Sion. Qu'il réalise les désirs de votre coeur et confirme pleinement votre projet": ainsi s'exprimait l'antienne d'ouverture proclamée par le célébrant, Fra Dragan Rùzi. La messe, particulièrement soignée du point de vue liturgique, était embellie par les voix splendides d'une chorale italienne(Vicenza) et par quelques solistes qui contribuaient ainsi à rendre l'atmosphère encore plus sacrée et plus solennelle.
Photos from the Medjugorje Festival during 1. - 6. August, 2006.
Lorsque, les 24 et 25 juin 1981, les apparitions de la Vierge commencèrent dans la paroisse de Medjugorje, l'évêque du diocèse de Mostar-Duvno et Trebinje-Mrkanj était Mgr Pavao Zanic (1971-1993). Lui a succédé le Dr. Ratko Peric.
Photos of one of the Medjugorje visionaries, Vicka Ivankovic-Mijatovic during her short discourse to pilgrims before the house of her parents.
Photos of Siroki Brijeg, which is located several kilometres from Medjugorje. Siroki Brijeg is the place of work of Fr. Jozo Zovko.
Pilgrims came up the Cross Mountain Krizevac to participate the Holy Mass before the Cross. Folder contains photos from the event and links to descripting article with additional photos from the event.
Pictures taken during late summer days.
Ce festival est né il y a 17 ans quand p. Slavko avec un groupe de jeunes a commencé à les aider à comprendre Medjugorje, à grandir avec cette spiritualité exprimée par des chants et des témoignages personnels. Je n’étais pas ici donc je ne peux pas vous en dire plus sur le début. Certainement, c’était un groupe de jeunes qui avait été touché par Medjugorje, par la présence de la Sainte Vierge et des messages, ainsi, petit à petit ce festival, cette rencontre internationale a grandi.
Un chant vivant et rythmé qui sort d’un coeur joyeux et qui enveloppe l’esprit et tout le corps dans une expression de louange. Des dizaines de langues différentes, des prières dans les formes les plus variées, des centaines de couleurs, des milliers de voix... Un quelque chose de neuf et d’unique ici à Medjugorje et à quoi sans doute les pèlerins les plus « traditionnels » ne sont pas habi- tués, mais sûrement quelque chose de vivant qui vous invite à ne pas vous isoler et à entrer pour participer à ce corps unique qui n’est autre que le printemps de l’Eglise, le Corps mystique du Christ.
Colette est française, son mari, anglais, et ils ont deux filles nées aux Etats-Unis.
"Nous vivons actuellement en Pennsylvanie. Notre famille n'est, ou plutôt, n'était pas très croyante. Mon mari et moi avions eu tous deux des expériences malheureuses avec l'Église catholique et nous étions heureux d'en rester aussi loin que possible. Pourtant en mars 2003, quelque chose de vraiment étrange se produisit. Le 17 mars, au moment où la guerre était sur le point de commencer, je me suis réveillée absolument convaincue que le monde courait à sa perte et que je devais faire deux choses :
« Je dors, mais mon coeur veille » (Ct 5,2)
Parfois nous sommes portés à dire: j’ai été capable de faire ça, cet autre qui s’appelle moi ; j’ai réalisé cette entreprise, et on peut noter là un sentiment de complaisance, parfois même d’orgueil. En fait je me demande : comment verrons-nous notre vie quand s’approchera son terme ? Je pense que nous aurons un souvenir serein et lumineux de ce que Dieu a fait dans notre existence et dans celle des autres, et cela sera pour nous, certainement, un motif de joie et de paix.
Peut-être aurons-nous un souvenir lointain et même désabusé de ce que nous avons fait de notre côté; probablement aurons-nous aussi des motifs de regret pour n’avoir plus la capacité et la possibilité de faire ce que nous faisions jadis. Mais en fait Dieu qui, dans un instant peut créer l’univers, ne va pas tant à la recherche de notre agir, que de notre coeur: c’est là qu’il trouve ses délices.
Je me souviens bien de la première fois que je vins à Medjugorje; c’était en mai 97, j’avais quatorze ans. Depuis lors ma vie a subi un grand virage, elle a pris une direction bien précise. Oui, je parle de direction, car depuis ce moment a commencé un chemin graduel dans lequel j’ai dû donner ma réponse à Dieu en diverses occasions, renouvelant mon oui à Lui dans la liberté.
J’étais gamin et j’arrivai dans cette terre bénie sans attentes particulières et sans préjugés d’aucune sorte. En regardant en arrière, je pense avoir été simplement conduit ici par Elle: la Madone m’a pris par la main comme un enfant et m’a conduit vers le Dieu d’Amour, vers Celui que je connaissais alors seulement par ouï-dire et qui, de là, m’a séduit
Recherches scientifiques sur les voyants
Au début, les apparitions de Medjugorje ont été accompagnées de nombreux phénomènes étranges dans le ciel et sur la terre, en particulier de guérisons miraculeuses. Avec environ mille pèlerins, j’ai personnellement assisté à une danse du soleil inhabituelle. Cette manifestation a été tellement étrange et évidente que tout le monde, sans exception, l’a qualifiée de miracle. Personne n’est resté indifférent, j’en ai acquis la certitude en interrogeant les témoins oculaires. La joie, les larmes et les témoignages des personnes présentes le confirmaient. Leurs paroles indiquaient qu’ils considéraient cette manifestation comme une confirmation de l’authenticité des apparitions et un encouragement à y répondre en les accueillant. Et c’est précisément l’objectif véritable des miracles : aider les gens à croire et à vivre selon la foi, car les miracles sont au service de la foi et du salut des hommes.
Le 7 octobre Mirjana a été interviewée par un groupe de Foggia:
Mirjana Dragicevic: Oui, la Sainte Vierge m'apparaît toujours le 18 mars et le 2 de chaque mois. Pour le 18 mars, Elle m'a dit que Ses apparitions dureraient toute ma vie; quant à celles du 2 de chaque mois, je ne sais quand elles finiront. Celles-ci sont très différentes de celles que j'avais avec les 5 autres voyants jusqu'à Noël 1982. Tandis qu'aux autres voyants la Madone apparaît à heure fixe (17h45), moi je ne sais pas quand Elle arrivera: je commence à prier vers 5h du matin... parfois Notre-Dame apparaît l'après-midi ou à la nuit tombée... Ce sont des apparitions différentes aussi par leur durée: celles des voyants durent de 3 à 8 minutes tandis que les miennes, du 2 du mois, sont de 15 à 30 mn.
Quelle que soit la circonstance qui nous conduit à Medjugorje, nous avons été appelés. Et moi, moniale cloîtrée qui par suite de problèmes de santé a été conduite à ce lieu saint - avec toutes les permissions requises, évidemment - et hébergée dans une maison de prière de la nouvelle Communauté de vie contemplative "Reine de la Paix, complètement Tiens…", avec une immense gratitude je me demande encore à qui je dois ce bonheur que la Mère de mon Seigneur m'ait appelée à Elle. Très fort était mon lien affectif avec la Mère de Dieu qui, quelques fois s'était faite présente dans ma vie, même de manière sensible, et c'est peut-être pourquoi je n'éprouvais pas le besoin de la chercher. Mais, dans la sensation de me trouver dans un tunnel obscur tandis que mon existence entière était compromise - y compris ma vocation religieuse - je me confiai de nouveau à Elle en lui remettant ma santé de manière particulière.
Un message insolite, non pas tant dans le contenu que dans le ton. Alors qu’en fait le contenu regarde toujours et seulement la nécessité de la conversion, du retour à Dieu, de l’abandon à Lui, du chemin sérieux, conscient, déterminé, vers la vie éternelle, le ton n’est plus celui de l’invitation mais de la remontrance. Habitués à nous entendre exhortés, sollicités, encouragés, nous sommes frappés de stupeur face à ce message qui ne contient plus, au moins explicitement, aucune invitation mais semble photographier une situation de distance entre Dieu et Marie d’une part, et nous d’autre part.
Tout au contraire! Mgr Paul Hnilica fut un témoin courageux dans l’Eglise, de la grâce extraordinaire qui sourd de ce lieu. Elle est célèbre sa lettre aux groupes de prière liés à Medjugorje écrite en 1997. Nous en donnons quelques passages parce qu’ils réussissent à synthétiser, de façon très éloquente la valeur de l’événement Medjugorje.
Nous avons célébré depuis peu le Jubilé du Ciel, la présence de la Sainte Vierge par-mi nous depuis 25 ans. Depuis ce lointain 25 juin 1981 jusqu’à aujourd’hui une bonne partie du monde s’est rendue à Medjugorje. Quelques-uns y sont seulement passés, d’autres, les plus nombreux, après une première fois y sont revenus et reviennent sou-vent, comme à un rendez-vous d’amour dont on sent le rappel.
Désormais Medjugorje est connu en tous lieux de la terre, ne serait-ce que par ouï dire, et chaque fois qu’on y revient c’est comme boire une gorgée d’eau de source fraîche qui désaltère notre soif de Dieu, de son amour; soif innée dans notre coeur, parfois ignorée - volontairement ou non - et que nous prétendons souvent apaiser avec quelque gorgée ‘d’eau polluée.’
Il y a une expression qui revient avec une fréquence tellement surprenante dans les messages de la Reine de la Paix, qu’elle ne suscite plus de particulière émotion dans les coeurs distraits de ses enfants: « Je suis avec vous !». Le Père Slavko, à qui je demandais quel était, selon lui, le message le plus important que le Ciel offrait à Medjugorje, répondait sans hésitation: « la présence spéciale de Marie parmi nous ».
Chanté, prié, déclaré. Depuis toujours l’amour est objet de l’attention de l’homme. Et même, à vrai dire, l’amour est la seule de nos recherches dont nous avons vraiment besoin. Son absence est la racine de tous les conflits: personnels, familiaux, voire mondiaux. Oui, parce que, si tout individu jouissait pleinement de la portion d’amour pour laquelle il a été créé, aucun ne prendrait la peine de s’attaquer aux autres. Il les aimerait et c’est tout!
Il Messagero du mercredi, 1er juin 2005 - «"L’ouverture" de Ratzinger : Papa Wojtyla a vénéré la Madonna de Civitavecchia», d’Orazio Petrosillo
Cité de Vatican – « La Madonna de Civitavecchia fera de grandes choses » état l’auspice exprimé par Benoît XVI lors de sa salutation de l'évêque Girolamo Grillo, au terme de la rencontre de lundi avec la Conférence épiscopale Italienne. Exactement le 1er avril passé, le jour avant la mort de Jean Paul II, l'évêque de Civitavecchia a remis un dossier d'études à la Congrégation pour la Doctrine de la foi présidé par le cardinal Ratzinger. Une commission sous l'égide de la Congrégation avait émis le verdict selon lequel elle ne constate pas le caractère surnaturel de la lacrymation, ce qu’avait affirmé publiquement, pendant l’émission « Porte à porte », le cardinal Tarcisio Bertone, déjà collaborateur de Ratzinger.
Folder with old images and traditional pictures of Blessed Virgin Mary.
Folder with old images and traditional pictures of Jesus Christ.
Rosary Secrets Cards with Joyful, Sorrowful and Glorious mysteries.
Old pictures with depictions of Virgin Mary and Nativity of Child Jesus.
Old pictures with Little Baby Jesus.
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