Etre victime est, sans aucun doute, dans la mystique chrétienne, l’état le plus élevé auquel une âme puisse aspirer. En un certain sens, on pourrait l’appeler l’abrégé et le couronnement de toutes les vocations. Mais ici le sens de victime doit être bien compris: il s’agit d’une âme qui s’offre volontairement et, même si elle doit souffrir, ce n’est pas à la douleur qu’elle s’offre, mais à l’Homme des douleurs, par amour, pour partager avec Lui Sa passion d’amour. Elle est, oui vraiment une âme qui se sacrifie, mais dans le sens que donnait l’Ancienne Alliance, d’offrir un sacrifice, c’est-à-dire d’offrir à Dieu un don sacré.
Du visage de la Madone se dégage une très grande beauté qu'on ne peut décrire. Elle-même a dit qu'Elle est si belle parce qu'Elle aime. Ainsi nous devons nous aussi être beaux, avant tout de l'intérieur, pour qu'ensuite cette beauté transparaisse aussi sur nos visages… Malheureusement, en ce qui nous concerne nous cachons notre visage sous des masques, nous cachons tout à l'intérieur… Nous devons commencer à aimer pour être beaux ; commencer en aimant, d'abord de tout notre cœur ceux qui composent notre famille, nos proches, puis enfin tous les autres… Il n'y a aucun problème pour la beauté: la vraie beauté est la bonté, celle spirituelle… "
Chers amis de Medjugorje, chers collaborateurs dans les centres de prière et de vie de Medjugorje, assis devant l’écran de mon ordinateur, je vous adresse mes salutations cordiales par le biais de l’électronique, et vous assure être en communion avec vous tout au long de votre rencontre. Comme vous pouvez l’imaginer, je préférerais être avec vous et aimerais entendre personnellement les conférences sous leurs aspects spirituels et théologiques. Il serait également important pour moi de participer aux échanges qui sont toujours enrichissants, car les pensées et les bonnes résolutions de conversion s’approfondissent souvent à travers la communication, particulièrement lorsque les personnes se rencontrent au nom de Jésus pour mieux comprendre certaines choses. C’est ce que je vous souhaite pour cette rencontre à laquelle malheureusement, je ne peux participer qu’à distance à cause d’une jambe en plâtre à la suite d’un « faux pas » sportif ! Puisque je ne pouvais m’y rendre personnellement, on m’a demandé de formuler quelques pensées susceptibles de favoriser le partage. Je participerai donc volontiers à la rencontre à partir d’ici et par ma modeste contribution. Il est évident qu’en tant que journaliste, je me référerai aux possibilités offertes par le caractère public de notre travail, ainsi qu’à notre relation aux médias, aux journalistes et à nous-mêmes en tant que journalistes.
Les messages de Medjugorje nous appellent à quatre reprises à lire l’Écriture Sainte. Le message du 18 octobre 1984 dit : « Aujourd’hui, je vous invite à lire la Bible chaque jour dans vos maisons. Elle doit être exposée dans un endroit visible pour vous inviter toujours à la lecture et à la prière. » Un autre message reprend cette même invitation : « Chaque famille doit prier et lire la Bible ensemble ! » (14 février 1985) Deux autres messages expliquent l’importance de la lecture biblique : « Priez et lisez l’Écriture Sainte, pour qu’à travers elle, vous puissiez découvrir le message qui vous est adressé à travers ma venue. » Et puis : « Lisez l’Écriture Sainte, vivez-la et priez-la, pour que vous puissiez reconnaître les signes de ce temps. » (25 juin 1991 et 25 août 1993)
Les communautés nouvelles ou les mouvements nouveaux sont très souvent désignés comme signes d’espoir particulièrement évidents dans l’Église contemporaine. C’est certainement justifié, puisque, globalement, ils donnent une authentique réponse chrétienne aux défis de la situation culturelle de la foi. (Cf. Medard Kehl SJ, « Communio - eine verblassende Vision ? », dans : Stimmen der Zeit, cahier 7/1997, p.453).
Les documents du Concile ont placé au premier plan, et de manière itérative, la participation de l’ensemble du Peuple de Dieu à la mission et à la vocation de l’Église dans le monde. Les Synodes des évêques de la dernière décennie ont également salué la communion à l’intérieur de l’Église comme un don de l’Esprit, qui s’exprime dans la pluralité des charismes et des formes de vie : « La vocation et la mission des laïcs »(1987), « La formation des prêtres dans le contexte contemporain »(1990) et « La vie consacrée » (1994).
En réfléchissant à ce thème, la parole de Jean me vient à l’esprit : « Ce que nous avons entendu, ce que nous avons vu de nos yeux, ce que nous avons contemplé, ce que nos mains ont touché du Verbe de Vie, - car la Vie s’est manifestée : nous l’avons vue, nous en rendons témoignage et nous vous annonçons cette Vie éternelle... ce que nous avons vu et entendu, nous vous l’annonçons, afin que vous aussi soyez en communion avec nous. » (1 Jn 1,1-3)
Le problème du sens de l’histoire, selon certains, serait précisément de savoir si l’homme savait, s’il se rendait compte, s’il lui a été donné de découvrir la vérité sur lui-même, tant que l’histoire était encore en cours ? Plus précisément : l’histoire qui manifeste tant de signes de hasard, tant d’irrationalité, révèle-t-elle malgré tout une nécessité qui donnerait une sorte de justification à tout ce qui s’est déroulé dans le passé ?
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